
COVID 2ème vague : les incidences psychologiques
La deuxième vague de l’épidémie de COVID-19 nous touche de plein fouet et avec elle, nous devons nous attendre à une recrudescence des troubles de l’anxiété, du sommeil et des états dépressifs.
La deuxième vague de l’épidémie de COVID-19 nous touche de plein fouet et avec elle, nous devons nous attendre à une recrudescence des troubles de l’anxiété, du sommeil et des états dépressifs.
Je suis née quelques années après la seconde guerre mondiale, dans un pays en paix, ce qui n’était pas le cas dans ma famille. Je n’étais pas une enfant désirée, mais aux yeux de ma mère, une “indispensable”. Elle a fait de moi sa chaîne et une chaîne ça se brise ! Mon père ne m’a pas considérée comme son enfant mais comme son ennemie. Rompu à l’art de la guerre, il m’a appliqué le sort réservé à l’ennemi. Sa brutalité, sa violence ont fait de moi une enfant maltraitée voire torturée.
Le masque, objet simple qui nous protège du Covid-19 est un lien à la mort pour beaucoup de victime d’agression. Dans cet article, une victime témoigne de l’explosion de cette mémoire traumatique et des sensations et émotions qui y sont rattachés.
Un témoignage poignant de réalité et de simplicité.
Remettre ou non ses enfants à l’école et se sentir coupable.
Coupable de ne pas vouloir les remettre à l’école pour les protéger en laissant de côté ses impératifs professionnels ou coupable de choisir son activité en remettant ses enfants à l’école.
Quel que soit votre choix, vous serez envahi par un sentiment de culpabilité.
Comment ce processus fonctionne-t-il et surtout peut-on en sortir ?
Avec cette pandémie, nous subissons et avançons vers l’inconnu, un inconnu sanitaire, économique et humain. C’est une situation particulièrement anxiogène qui a commencé pour beaucoup d’entre nous par une période de léthargie. Nous étions comme abasourdis, sidérés par la situation, nous n’avions plus aucun repère et ne savions que faire.
Nous étions emprunts de peur, de colère, de tristesse, avions parfois du mal à trouver le sommeil et notre nouveau mode de vie, enfermé à la maison, était animé de panique et de comportements grégaires que l’on a pu observer au travers des achats compulsifs de papier toilette en France.
Je suis un vase. Plutôt beau, utile, il plait beaucoup à tous ceux qui s’occupent de lui, le bichonnent avec tendresse, ou bien le regardent de loin, sans trop oser y toucher finalement.
Tout nouveau tout beau !
Mais voilà, cela n’a pas duré…
Victime de violences physiques, sexuelles, psychologiques pendant de très longues années, bien évidemment un psycho-traumatisme s’est installé. Je le considère comme un locataire indésirable et je fais tout pour le déloger.
Avez-vous déjà essayé de faire une sculpture sans matière ? C’est ce que vous faites au quotidien !
Coaching ou thérapie Le développement du coaching comme approche de changement et mode d’accompagnement a pris suffisamment d’importance ces dernières années pour que la frontière